DIVERS : LES CONSEILS DE JOREL JACQUES ZANG AUX FEMMES EN CAS D’INSATISFACTION CHEZ L’HOMME
Les problèmes liés à la vie conjugale ne doivent pas être livrés à n’importe qui. C’est le conseil de Jorel Jacques Zang, lanceur d’alerte au Cameroun, qui met en garde contre des confidences trop ouvertes, et souligne le risque de conseils toxiques de la part d’étrangers. Trop souvent à chaque fois qu’une femme vit des difficultés dans son foyer, elle s’empresse à aller la confier à une de ses amies sincères sans connaître les intentions de cetTe dernière sur elle.
Selon les conseils donnés par Jorel Jacques dans une publication, les femmes mariées doivent éviter les révélations excessives dans les lieux publics. « Mesdames, sachez qu’on ne parle pas de ses problèmes de couple n’importe où et n’importe comment et surtout à n’importe qui. Il faut bien réfléchir à qui on se confie et surtout à ce qui sort de nos bouches. Car parfois, vous pensez nuire à vos époux/conjoints mais en réalité c’est vous-mêmes qui vous exposez au mal sans vous en rendre compte
Vous sautez vos témoins de mariage, parents ou membres proches de la famille, hommes de dieu (pour ceux et celles qui ont des rapports sains avec eux, qui sont les personnes les mieux indiquées pour vous aider pour aller plutôt vous confier à des étrangers dont vous ne connaissez pas toujours la vie réelle et qui, pour beaucoup, vous donnent souvent des conseils toxiques et ça vous étonne que votre foyer batte davantage de l’aile ? »
Jorel Jacques Zang précise qu’il « n’est pas question ici de se taire quand ça ne va plus mais sachez chez qui parler et quoi dire car une personne dont tout le quartier connait sa vie jusqu’à son intimité n’est plus « une personne » car elle est « nue ». Une femme mariée par exemple n’a pas à se confier à une célibataire, vous n’êtes pas dans le même secteur d’activité donc que pouvez-vous vous dire concrètement ?
Je ne dis pas que se confier à une personne célibataire est mauvais mais seule une personne mariée comme vous peut facilement comprendre certaines choses au vu des réalités communes que vous vivez toutes les deux », a-t-il écrit. Cette déclaration souligne la nécessité d’une discrétion sur sa vie privée lors des discussions avec des personnes qu’on ne maîtrise pas.