INCACERATION DES ETUDIANTS EN PRISON : BERTIN KOOVI IMPLORE LA CLEMENCE DU CHEF DE L’ETAT POUR LEUR LIBERATION

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un père ne peut jamais accepter voir périr son fils à moins que ce dernier est animé par un esprit démoniaque . Des étudiants en prison inquiètent le compatriote Bertin KOOVI qui dans une audio a imploré en larmes le chef de l’exécutif à les faire libérer .

A travers un audio devenu viral sur les réseaux sociaux, ce 20 septembre 2023, l’ancien président de l’Alliance Iroko, Bertin Koovi a décidé de revenir sur ce dossier, avant d’implorer la clémence du Président de la République, Patrice Talon et demander leur libération.

 

 

Pour Bertin Koovi, , la rentrée universitaire s’annonce et il est important que le président de la République, Patrice Talon fasse parler concernant des étudiants en prison depuis 2021. A l’en croire, ces étudiants qui croyaient militer pour une cause, étaient plutôt envoyer sur le terrain pour servir de chair à canon par des politiciens proches de l’opposition. Un peu moins d’une dizaine, selon sa déclaration, ces étudiants qui croupissent en prison depuis environ 3 ans, méritent d’être libérés en raison de l’imminence de la rentrée universitaire. « C’est en tremblant avec peur que je fais la demande et non par courage. Je ne les connais pas, ils sont certainement de ceux qui me maudissent pour avoir fait la paix avec la République », estime Bertin Koovi.
« Par l’amour que vous avez pour moi en acceptant ma demande de revenir au bercail sans poursuites judiciaires en 2021, je vous demande de les libérer », suggère Bertin Koovi à Patrice Talon.


« Chaque fois que je dors, j’entends une voix qui me dit : triomphant ton garçon, reprend le chemin de l’université, mais tu ne fais rien pour la libération de ces garçons que je t’ai confiés », a renchéri le candidat à la candidature pour la succession de Patrice Talon en 2026.
Pour lui, il est vrai que ce n’est pas le Chef de l’Etat qui les avait arrêtés, mais ces enfants qui scandaient en compagnie des dinosaures de l’opposition : « 5 ans c’est 5 ans, n’avaient même pas conscience de ce qu’ils disaient ».
Tout en pleurs, il implore la libération  de ces étudiants, qui croupissent  derrière les barreaux parce qu’il soutient qu’ils n’ont personne.

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