SERVICES DE LA SBIN ET CELTIIS: L’AMATEURISME QUI RISQUE DE CONDUIRE CES 2 SOCIÉTÉS JUMELLES DANS LE GOUFFRE COMME LIBERCOM.
Du pur amateurisme. A la Sbin et Celtiis, la Gestion à l’approximative de la clientèle et un système de facturation qui frise de l’escroquerie constituent désormais des normales cardinales. Ce sont les maux qui minent les sociétés jumelles SBIN & Celtiis dans lesquelles le contribuable beninois a injecté plus de 68 milliards. Le président Patrice Talon en décidant de recapitaliser l’opérateur historique pour en faire une mastodonte de services numériques a bien vu au regard des besoins colossaux et des opportunités qui s’offrent aux citoyens à travers les TIC. Mais c’est sans compter avec l’inconscience et l’incapacité professionnelles qui animent les travailleurs qui y sont.
Aussi, c’est sans compter avec l’incompétence notoire de la société mère dont les employés ont été reversés dans les 2 sociétés et qui assurent la continuation des manœuvres qui ont tué Bénin Télécoms et Libercom.
En effet, il règne une atmosphère d’arrogance et d’insolence à Sbin et Celtiis. Incapables de fournir les services pour lesquels ils ont payés, vous pouvez attendre les employés pendant des semaines pour avoir une ligne qui vous fournit le service internet. Et quand vous l’avez, une connexion saccadée vous est fournie avec des interruptions sporadiques inexpliquées. Quand à la facturation, c’est inédit. Sbin et Celtiis vous délivre une facture dont le montant dû affiché après un règlement est supérieur au montant dû avant règlement. Le comble est que personne n’arrive à expliquer comment on peut délivrer ce genre de facture à l’ère de l’information où la concurrence est fatale pour toutes les entreprises qui jouissent de l’amateurisme.
Les autorités à divers niveaux sont interpellés pour mettre fin à ce désordre pendant qu’il est encore temps dans la maison Sbin & Celtiis pour ne pas écrémer les milliards des béninoiss engloutis dans ces 2 entreprises.
Nous allons vous revenir avec des dossiers qui feront pâlir le contribuable et énerver le premier des béninois qui travaille avec acharnement pour révéler le Bénin.
Christophe DJOSSOU